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Chez Langevin Immobilier, nos articles sont conçus pour vous offrir des informations pertinentes et utiles sur le marché immobilier de Montréal et ses environs. Que vous soyez à la recherche de con... Chez Langevin Immobilier, nos articles sont conçus pour vous offrir des informations pertinentes et utiles sur le marché immobilier de Montréal et ses environs. Que vous soyez à la recherche de conseils pour acheter ou vendre une propriété, ou que vous souhaitiez rester informé des tendances du secteur, nos experts partagent leur expertise pour vous guider. Plongez dans une mine de ressources enrichissantes sur l’achat, la vente, et l’investissement immobilier, pour des transactions réussies.

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Vendre un bien immobilier au Québec : mariés vs conjoints de fait – Ce que vous devez savoir
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Vendre un bien immobilier au Québec : mariés vs conjoints de fait – Ce que vous devez savoir

La vente d'une propriété représente souvent l'une des transactions financières les plus importantes de votre vie. Pourtant, peu de propriétaires réalisent à quel point leur statut conjugal peut influencer le processus de vente et ses implications légales et fiscales. Que vous soyez mariés, unis civilement ou conjoints de fait, les règles ne sont pas les mêmes. Comprendre ces différences peut vous éviter des surprises désagréables et optimiser votre situation fiscale.Chez Langevin Immobilier, nous guidons nos clients à travers ces subtilités depuis des années. Voici tout ce que vous devez savoir avant de vendre votre propriété au Québec.Les protections selon votre statut conjugalSi vous êtes mariés ou unis civilementLe droit québécois offre des protections automatiques importantes aux couples mariés ou unis civilement, notamment à travers le concept de résidence familiale et le patrimoine familial. La résidence familiale : une protection crucialeLa notion de résidence familiale s'applique uniquement aux couples mariés ou unis civilement. Concrètement, cela signifie que même si un seul conjoint est propriétaire légal de la résidence, l'autre conjoint doit obligatoirement donner son consentement pour la vendre. Les deux conjoints doivent s'entendre sur la vente de la maison même s'ils sont séparés et ne demeurent plus ensemble sur la propriété.Cette protection s'étend également aux résidences secondaires dans certains cas. La définition peut englober une résidence secondaire, comme un condominium ou un chalet. Il est donc essentiel de consulter un notaire pour déterminer si votre chalet ou votre condo en ville pourrait être considéré comme une résidence familiale.Le patrimoine familialLes couples mariés sont assujettis aux règles du patrimoine familial qui établissent quels sont les biens qui en font partie et comment ceux-ci sont partagés. La résidence où ils vivent fait partie du patrimoine familial et, en cas de divorce, sa valeur sera partagée entre les époux, peu importe qui en était propriétaire.Cette règle garantit une certaine équité financière, mais elle peut aussi compliquer la vente si les conjoints sont en désaccord.Si vous êtes conjoints de faitLa situation est radicalement différente pour les conjoints de fait. La notion de résidence familiale est tout à fait étrangère aux conjoints de fait. Au sens du Code civil du Québec, il n'existe donc pas de résidence familiale pour les conjoints de fait.Aucune protection automatiqueLes conjoints de fait et les couples mariés au Québec sont soumis à des règles différentes. Les couples mariés bénéficient automatiquement de protections comme le partage du patrimoine familial et la pension alimentaire en cas de divorce. En revanche, les conjoints de fait doivent conclure des ententes spécifiques pour avoir des droits similaires.Si vous êtes conjoint de fait et que votre nom n'apparaît pas à l'acte de vente, vous n'aurez aucun droit sur cette propriété, peu importe si vous avez eu des enfants ou le nombre d'années de vie commune. L'importance de la copropriété indiviseInscrire les deux noms sur l'acte d'achat signifie que les deux conjoints seront considérés copropriétaires et responsables de l'entretien de la maison, ainsi que de l'hypothèque. Aucun des deux ne pourra louer ou vendre la maison sans que l'autre consente.En cas de séparation, chacun des propriétaires est considéré comme un indivisaire et a donc le droit de vendre sa part, mais l'autre a généralement préséance sur un nouvel acquéreur. C'est ce qu'on appelle le droit de préemption ou de premier refus.Se protéger avec un contrat de vie communeRédiger un contrat de vie commune, aussi appelée convention de conjoints de fait, permet d'inclure le détail des ententes de paiement en lien avec la propriété. Ce document peut prévoir ce qui arrivera de la propriété en cas de séparation et établir clairement les contributions financières de chacun.Les implications fiscales selon le type de propriétéAu-delà du statut conjugal, le type de propriété que vous vendez aura un impact majeur sur votre facture fiscale.Résidence principale : l'exemption du gain en capitalVous pouvez profiter d'une exemption d'impôt sur le gain en capital réalisé grâce à la vente de votre résidence principale.Pour être admissible, une résidence principale doit être normalement habitée, ce qui veut dire qu'elle est habitée, même pendant une courte période, au cours de l'année par le contribuable, son époux/épouse, conjoint/conjointe de fait ou un enfant.Règle importante : Vous ne pouvez désigner plusieurs biens immobiliers comme résidence principale sur une année par ménage. Seule une maison par an peut bénéficier de ce statut. Cela signifie qu'un conjoint ne peut déclarer une propriété comme résidence principale au cours d'une année, pendant que l'autre conjoint désigne une maison comme telle.La formule magique du « 1 + »La règle du 1+ est déterminante et permet d'exonérer le gain en capital pour une année, et ce, qu'il s'agisse de la résidence principale ou de la résidence secondaire. Si vous détenez une propriété depuis 10 ans et la désignez comme résidence principale pour toutes ces années, le calcul sera : (1 + 10) ÷ 10, ce qui équivaut à 100 % du gain exempté.Résidence secondaire : attention à la facture fiscaleLa vente d'un bien immobilier qui sert de résidence secondaire est imposable dans toutes les situations. Le gain de capital généré sera imposé à 50 %.Calcul du gain en capitalPrenons un exemple concret : Si vous avez acheté un chalet à 100 000 $ il y a plusieurs années, que vous avez investi 30 000 $ dans des travaux majeurs et que votre propriété vaut désormais 250 000 $, voici le calcul : Prix de vente (250 000 $) – prix d'achat incluant les rénovations (130 000 $) = 120 000 $. Le gain en capital réalisé sera donc de 120 000 $ et 50 % de ce montant sera imposable, soit 60 000 $.Stratégie de désignationSi votre chalet a pris plus de valeur que votre maison depuis que vous l'avez acheté, il serait probablement avantageux de le désigner comme étant votre résidence principale. C'est ici qu'une planification fiscale avec un professionnel devient essentielle.Déductions possiblesVous pouvez déduire les rénovations qui améliorent l'immeuble, comme l'ajout d'un garage, mais pas les dépenses d'entretien, comme le remplacement de céramique abîmée. Également déductibles : les frais de courtage immobilier et les frais de notaire liés à la vente.Immeuble de placement ou locatif : des règles plus complexesPour un immeuble de placement, la situation fiscale se complexifie. Vous devez calculer le gain en capital se rapportant à la partie louée et déterminer s'il y a une récupération de la déduction pour amortissement (DPA) ou une perte finale sur la partie louée du bâtiment. Un changement d'usage a lieu lorsque vous cessez d'habiter votre résidence principale pour la louer ou inversement. À la suite de ce changement, une personne est réputée avoir vendu l'immeuble à sa juste valeur marchande et l'avoir réacquis, immédiatement après, au même prix. Ce changement peut entraîner des conséquences fiscales importantes.Les démarches pratiques pour la ventePour les couples mariés ou unis civilementObtenir le consentement du conjoint : Même si vous êtes le seul propriétaire, votre conjoint doit signer les documents de vente si la propriété est votre résidence familiale.Consulter sur le régime matrimonial : Au-delà du patrimoine familial, votre régime matrimonial (société d'acquêts, séparation de biens, etc.) peut avoir des implications sur la vente.Planifier la désignation fiscale : Décidez ensemble quelle propriété sera désignée comme résidence principale pour maximiser les exemptions fiscales.Pour les conjoints de faitVérifier l'acte de propriété : Qui est légalement propriétaire? Les deux noms apparaissent-ils?Consulter le contrat de vie commune : Si vous en avez signé un, il déterminera comment procéder avec la vente et le partage du produit.Respecter le droit de préemption : Si vous êtes séparés et qu'un seul conjoint veut vendre sa part, l'autre a généralement un droit de premier refus.Documenter les contributions : Conservez les preuves de vos contributions financières pour éviter les litiges.Nos recommandations d'experts1. Planifiez à l'avanceNe attendez pas le moment de la vente pour comprendre les implications de votre statut conjugal. Une consultation avec un notaire au moment de l'achat peut vous éviter bien des complications.2. Documentez toutGardez toutes les factures de rénovations majeures, les relevés hypothécaires et les preuves de paiement. Ces documents seront précieux pour réduire votre gain en capital imposable.3. Consultez des professionnelsLa vente d'une propriété implique des aspects juridiques et fiscaux complexes. Entourez-vous d'une équipe compétente :Un courtier immobilier expérimenté pour maximiser la valeur de venteUn notaire pour les aspects juridiquesUn fiscaliste ou planificateur financier pour optimiser votre situation fiscale4. Conjoints de fait : protégez-vousSi vous êtes conjoints de fait, ne présumez jamais que vous avez les mêmes droits que les couples mariés. Signez un contrat de vie commune et assurez-vous que les deux noms apparaissent sur l'acte de propriété si vous contribuez financièrement.5. Pensez stratégie fiscaleSi vous possédez plusieurs propriétés, prenez le temps de calculer laquelle vous devriez désigner comme résidence principale pour minimiser l'impôt. Cette décision peut vous faire économiser des dizaines de milliers de dollars.En conclusionVendre une propriété au Québec ne se résume pas à trouver un acheteur et signer des papiers. Votre statut conjugal et le type de propriété que vous vendez ont des implications majeures sur vos droits, vos obligations et votre facture fiscale.Près de 40 % des couples québécois ne sont pas mariés et vivent en union de fait. Si vous faites partie de ce groupe, il est crucial de comprendre que vous ne bénéficiez pas des mêmes protections automatiques que les couples mariés.Que vous soyez mariés ou conjoints de fait, que vous vendiez votre résidence principale, votre chalet ou un immeuble de placement, une chose est certaine : une préparation adéquate et des conseils professionnels feront toute la différence dans le succès de votre transaction.Chez Langevin Immobilier, nous accompagnons nos clients dans toutes les étapes de leur projet immobilier, en tenant compte de leur situation unique. Notre expertise du marché québécois et notre réseau de professionnels de confiance (notaires, fiscalistes, évaluateurs) nous permettent de vous offrir un service complet et personnalisé.Vous envisagez de vendre votre propriété? Contactez-nous dès aujourd'hui pour une évaluation gratuite et des conseils adaptés à votre situation conjugale et fiscale. Parce que vendre intelligemment, c'est vendre avec les bons experts à vos côtés.

Auteur Alexandre Feydri
Courtiers immobiliers : multiplier vos ventes grâce aux appels téléphoniques
Coaching

Courtiers immobiliers : multiplier vos ventes grâce aux appels téléphoniques

Dans le secteur immobilier hyper-compétitif, la différence entre les courtiers qui prospèrent et ceux qui survivent se résume souvent à une compétence fondamentale : leur maîtrise des appels téléphoniques. Alors que beaucoup considèrent cette approche comme dépassée à l'ère du digital, la réalité démontre le contraire. Les appels téléphoniques demeurent l'outil le plus puissant pour générer des ventes de qualité et établir des relations durables avec la clientèle.Chez Langevin Immobilier, nous constatons quotidiennement que les courtiers qui maîtrisent l'art des appels téléphoniques génèrent 300% plus de mandats que ceux qui se limitent aux approches passives. Cette différence spectaculaire n'est pas le fruit du hasard, mais résulte de techniques précises que nous allons décortiquer dans cet article.Pourquoi les appels téléphoniques génèrent-ils plus de ventes ?Le facteur humain irremplaçableContrairement aux emails ou messages automatisés, l'appel téléphonique crée une connexion humaine immédiate. Cette interaction directe permet d'établir la confiance rapidement, de détecter les nuances émotionnelles du prospect, et d'adapter votre discours en temps réel selon ses réactions.Les statistiques parlent d'elles-mêmes : un prospect contacté par téléphone a 7 fois plus de chances de devenir client qu'un prospect contacté uniquement par email. Cette efficacité supérieure s'explique par la richesse de la communication vocale qui transmet non seulement l'information, mais aussi votre expertise, votre enthousiasme et votre professionnalisme.La qualification immédiate des prospectsLes appels téléphoniques permettent une qualification instantanée des prospects. En quelques minutes de conversation, vous pouvez déterminer leur motivation réelle, leur échéancier, leur budget, et leur niveau d'engagement. Cette information précieuse vous évite de perdre du temps avec des prospects non qualifiés et vous permet de concentrer vos efforts sur les opportunités les plus prometteuses.L'avantage concurrentiel décisifDans un marché où la majorité des courtiers privilégient les approches digitales passives, ceux qui maîtrisent les appels téléphoniques se démarquent instantanément. Votre proactivité téléphonique vous positionne comme un professionnel engagé et accessible, qualités particulièrement appréciées dans le secteur immobilier.Les types d'appels qui génèrent le plus de ventesLes appels AVPP : une mine d'or sous-exploitéeLes appels aux propriétaires qui tentent de vendre seuls (AVPP - À Vendre Par un Particulier) représentent l'une des opportunités les plus lucratives pour les courtiers immobiliers. Ces propriétaires, confrontés aux défis de la vente autonome, sont souvent réceptifs aux conseils d'experts.L'expertise de Geneviève Langevin dans ce domaine est reconnue à travers le Québec. Sa méthode pour transformer les appels AVPP en mandats exclusifs repose sur une approche respectueuse qui évite les erreurs classiques que commettent 90% des courtiers :Ne jamais critiquer ouvertement leur décision de vendre seulsCommencer par s'intéresser sincèrement à leur situationPoser des questions de découverte stratégiquesConstruire progressivement la relation avant de proposer une rencontreLa prospection géographique cibléeConcentrer vos appels sur un secteur géographique spécifique vous permet de développer une expertise locale reconnue. Cette stratégie de "farming téléphonique" consiste à appeler régulièrement les propriétaires de votre zone cible pour :Offrir des analyses de marché personnaliséesPartager des informations sur les ventes récentes du secteurProposer des évaluations gratuitesMaintenir une présence constante dans l'esprit des propriétairesLes appels de suivi : transformer les leads tièdes en clients chaudsLe suivi téléphonique structuré est où se joue réellement la différence. La majorité des transactions immobilières se concrétisent après le 5ème contact, pourtant 80% des courtiers abandonnent après le 2ème appel. Cette statistique révèle une opportunité énorme pour les courtiers persévérants.Un système de suivi efficace inclut :Jour 3 : Appel de remerciement et envoi des documents promisSemaine 2 : Appel de courtoisie pour prendre des nouvellesSemaine 4 : Partage d'informations de marché pertinentesSemaine 6 : Nouvelle proposition de valeur adaptéeLes techniques qui transforment les appels en ventesLa préparation : la clé du succèsChaque appel doit être précédé d'une préparation minutieuse. Recherchez des informations sur la propriété, son historique de prix, la durée sur le marché, et les caractéristiques du secteur. Cette préparation vous permet de personnaliser votre approche et de démontrer votre professionnalisme dès les premiers échanges.Préparez également vos questions de découverte stratégiques :"Qu'est-ce qui vous motive à vendre maintenant ?""Quel est votre délai idéal pour la transaction ?""Quels sont vos plus grands défis jusqu'à présent ?""Avez-vous déjà travaillé avec un courtier immobilier ?"L'ouverture parfaite : capturer l'attention en 10 secondesLes 10 premières secondes de votre appel déterminent le succès ou l'échec de la conversation. Évitez absolument de commencer par parler de vous et de vos services. Concentrez-vous plutôt sur le prospect et sa situation :Mauvaise approche : "Bonjour, je suis Marie-Claude de Langevin Immobilier. Je suis courtière depuis 15 ans et j'ai vendu plus de 200 propriétés..."Bonne approche : "Bonjour, j'ai remarqué que vous vendez votre propriété sur la rue Maple. Comment se déroule votre vente jusqu'à présent ?"Cette approche centrée sur le prospect démontre votre intérêt genuine et augmente significativement votre taux de conversion.La gestion des objections : transformer la résistance en opportunitéChaque objection est une demande d'information déguisée. Au lieu de les combattre, accueillez-les comme des opportunités d'approfondir la conversation. La technique de reformulation vous permet de bien comprendre l'objection avant d'y répondre :Prospect : "Je préfère essayer seul d'abord." Réponse efficace : "Je comprends parfaitement cette approche. Combien de temps vous donnez-vous pour tenter la vente seul ?"Cette technique respecte la position du prospect tout en ouvrant la porte à une conversation plus approfondie sur ses motivations et ses préoccupations.Le closing naturel : obtenir l'engagement sans pressionLe closing efficace découle naturellement d'une conversation bien menée. Si vous avez correctement identifié les besoins du prospect et démontré votre valeur, la demande d'engagement devient évidente. Utilisez des closes assumptifs qui présupposent l'accord :"D'après ce que vous me décrivez, une évaluation professionnelle vous aiderait à prendre une décision éclairée. Je peux passer mardi matin ou mercredi après-midi, qu'est-ce qui vous convient le mieux ?"Les erreurs qui sabotent vos appels de venteParler plus qu'écouterL'erreur la plus commune des courtiers immobiliers est de monopoliser la parole. La règle d'or : écoutez 70% du temps, parlez 30% du temps. Cette proportion vous permet de vraiment comprendre les besoins du prospect et d'adapter votre proposition en conséquence.Utiliser un script rigideLes prospects détectent immédiatement les appels scriptés et impersonnels. Préparez plutôt une structure flexible avec des points clés à aborder, mais adaptez votre langage et votre approche selon chaque conversation. L'authenticité génère plus de confiance qu'un discours parfaitement rodé mais impersonnel.Négliger le suiviLa persistance respectueuse est cruciale dans l'immobilier. Développez un système de suivi qui vous permet de rester présent dans l'esprit du prospect sans devenir insistant. Chaque contact doit apporter de la valeur : information de marché, conseil pertinent, ou ressource utile.Le coaching spécialisé : accélérer votre maîtriseMaîtriser l'art des appels téléphoniques ne s'improvise pas. C'est pourquoi Geneviève Langevin, membre du top 1% des meilleurs courtiers immobiliers au Canada, a développé un programme de coaching spécialisé qui transforme littéralement la performance des courtiers.Une expertise éprouvée sur le terrainContrairement aux formations théoriques, le coaching de Geneviève s'appuie sur des techniques testées et affinées sur des milliers d'appels réels. Son approche ne propose pas une formule générique, mais un coaching ancré dans la réalité quotidienne du métier de courtier immobilier.Des résultats mesurables et immédiatsLes courtiers qui suivent plusieurs sessions avec Geneviève rapportent une amélioration spectaculaire de leur taux de conversion. Sa méthode permet de :Transformer davantage d'appels en rendez-vous qualifiésMaîtriser les conversations de prospectionGérer efficacement les objections complexesDévelopper la confiance nécessaire pour les appels AVPPFormules adaptées à tous les profilsQue vous démarriez votre carrière ou souhaitiez raffiner vos techniques d'appels, plusieurs options s'offrent à vous :Coaching à l'heure : Flexibilité totale avec paiement à l'heure, sans contrat, en sessions personnalisées one-to-one.Programme "Prospection Maîtrisée" : 10 heures sur 2 mois pour apprendre à transformer vos appels en rendez-vous d'évaluation.Programme "Évaluation à Signature" : 10 heures sur 2 mois pour maîtriser le processus du rendez-vous d'évaluation au suivi post-évaluation.Mesurer et optimiser vos résultatsLes indicateurs clés de performance (KPI)Pour optimiser continuellement vos appels téléphoniques, mesurez systématiquement :Taux de réponse : Pourcentage d'appels où vous obtenez un contact directTaux de conversion : Pourcentage d'appels transformés en rendez-vousTaux de signature : Pourcentage de rendez-vous transformés en mandatsDurée moyenne des conversations : Indicateur de l'engagement du prospectNombre d'appels nécessaires avant signature : Mesure de l'efficacité de votre cycle de venteL'amélioration continueEnregistrez vos appels (avec autorisation) pour analyser votre performance et identifier les axes d'amélioration. Notez les objections récurrentes pour préparer des réponses plus efficaces. Testez différentes approches d'ouverture pour optimiser votre taux de conversation.Technologies et outils pour maximiser l'efficacitéSystèmes de gestion de la relation client (CRM)Un CRM adapté à l'immobilier vous permet d'automatiser le suivi, de personnaliser vos communications, et de ne jamais laisser passer une opportunité. Intégrez-y vos notes d'appels, planifiez vos relances, et suivez vos KPI en temps réel.Outils de prospection intelligenteUtilisez des outils qui vous permettent d'identifier les propriétaires motivés : propriétés avec réduction de prix, longue durée sur le marché, ou changements de situation personnelle. Cette intelligence vous permet de cibler vos appels sur les prospects les plus susceptibles de convertir.Construire une routine d'appels gagnanteLa planification quotidienneRéservez des créneaux spécifiques pour vos appels téléphoniques, idéalement aux moments où vos prospects sont le plus susceptibles d'être disponibles : entre 9h et 11h le matin, et entre 14h et 16h l'après-midi. Cette régularité vous permet de développer un rythme et d'améliorer progressivement vos compétences.La préparation mentaleAvant chaque session d'appels, préparez-vous mentalement. Visualisez des conversations réussies, concentrez-vous sur la valeur que vous allez apporter, et adoptez un état d'esprit positif. Votre énergie se transmet à travers le téléphone et influence directement vos résultats.La gestion des émotionsLes appels téléphoniques peuvent être émotionnellement exigeants, particulièrement face aux refus. Développez des techniques pour gérer le stress et maintenir votre motivation : pauses régulières, célébration des petites victoires, et perspective à long terme sur vos objectifs.Conclusion : transformez vos appels en moteur de croissanceDans un secteur où la concurrence s'intensifie, les courtiers immobiliers qui maîtrisent l'art des appels téléphoniques possèdent un avantage concurrentiel majeur. Cette compétence, loin d'être dépassée, reste l'une des méthodes les plus efficaces pour générer des ventes de qualité et construire une clientèle fidèle.Le succès dans les appels téléphoniques immobiliers ne se résume pas à la technique, mais combine préparation minutieuse, écoute active, gestion émotionnelle, et suivi systématique. C'est un art qui se perfectionne avec la pratique et s'optimise avec un coaching professionnel adapté.L'expertise de Geneviève Langevin dans ce domaine représente une opportunité unique de maîtriser rapidement ces compétences cruciales. Son approche bienveillante et axée sur les résultats a déjà transformé la performance de centaines de courtiers à travers le Québec.Ne laissez plus les appels téléphoniques au hasard. Investissez dans votre formation, développez vos compétences, et transformez chaque appel en une opportunité de croissance pour votre activité immobilière.Réservez dès maintenant votre appel découverte gratuit et découvrez comment le coaching spécialisé peut révolutionner votre approche des appels téléphoniques. Votre futur succès commence par ce premier appel.

Auteur Alexandre Feydri

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Langevin Immobilier organise régulièrement des événements qui rassemblent professionnels, clients et partenaires du secteur. Des ateliers éducatifs aux rencontres d’investisseurs, ces occasions son... Langevin Immobilier organise régulièrement des événements qui rassemblent professionnels, clients et partenaires du secteur. Des ateliers éducatifs aux rencontres d’investisseurs, ces occasions sont parfaites pour tisser des liens et découvrir nos stratégies innovantes. Participez à nos prochains événements pour enrichir votre réseau et obtenir des conseils précieux pour vos futures transactions.

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🏢 5 CONSEILS D'EXPERT POUR DÉBUTER EN INVESTISSEMENT IMMOBILIER 🏢Geneviève Langevin, courtier immobilier chez Royal LePage, reçoit Léo Brunet, investisseur immobilier avec 15 ans d'expérience, qui partage ses précieux conseils pour démarrer avec succès dans l'investissement immobilier.https://www.youtube.com/watch?v=eVJ_HTSe4Ns💡 LES 5 CONSEILS ESSENTIELS :1️⃣ SE FORMER ADÉQUATEMENT Les formations permettent de démarrer plus rapidement et d'éviter des erreurs coûteuses dans le domaine de l'immobilier.2️⃣ TROUVER DE BONS MENTORSL'expérience gratuite et le "street knowledge" transmis par un mentor peuvent faire toute la différence dans votre succès.3️⃣ TRAVAILLER AVEC L'ARGENT DES AUTRESNe vous limitez pas à votre capital initial. Trouvez des partenaires pour multiplier les opportunités et accélérer votre croissance.4️⃣ COMMENCER PLUS GROS DANS LE MULTILOGEMENTLe premier immeuble de Léo était un 10 logements. Il est difficile de générer de bons rendements avec les petits immeubles.5️⃣ NE PAS AVOIR PEUR DES PROBLÈMESL'argent se fait en trouvant des solutions à des problèmes. Les immeubles parfaits offrent peu de potentiel de profit.Des conseils concrets et applicables pour tous les investisseurs débutants ou intermédiaires !#InvestissementImmobilier #ImmobilierQuébec #Multilogement #ConseilsImmobilier #InvestisseurImmobilier #FormationImmobilier #RentabilitéImmobilière #DébutantImmobilier

Auteur Alexandre Feydri

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Le marché immobilier est un environnement dynamique et complexe qui fluctue en fonction de divers facteurs économiques, sociaux et politiques. À Montréal et dans ses environs, les tendances récente... Le marché immobilier est un environnement dynamique et complexe qui fluctue en fonction de divers facteurs économiques, sociaux et politiques. À Montréal et dans ses environs, les tendances récentes montrent une demande soutenue, stimulée par une économie en croissance, des taux d’intérêt relativement bas, et une population diversifiée. Dans un marché en évolution constante, il est essentiel de rester informé et de s’appuyer sur une expertise professionnelle pour prendre les bonnes décisions. Les quartiers comme Rosemont, Villeray et Outremont ont chacun leur propre attrait et présentent des opportunités uniques pour les acheteurs et investisseurs. Le rôle de Langevin Immobilier est de vous guider à travers ces nuances, en fournissant une compréhension claire des tendances actuelles, des prix du marché, et des attentes des acheteurs et vendeurs.

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Aide financière parentale : les Québécois moins généreux que le reste du Canada
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Aide financière parentale : les Québécois moins généreux que le reste du Canada

Face à la flambée des prix immobiliers et à la hausse des taux d'intérêt, de plus en plus de premiers acheteurs se tournent vers leurs parents pour concrétiser leur rêve d'accession à la propriété. Pourtant, au Québec, le coup de pouce familial reste moins fréquent qu'ailleurs au Canada, selon un récent sondage Royal LePage.Un écart marqué entre le Québec et le reste du CanadaLes chiffres révèlent une différence notable dans l'aide financière offerte aux jeunes acheteurs selon leur province de résidence.Des dons moins fréquents au QuébecAu Québec, seulement 7 % des potentiels premiers acheteurs prévoient obtenir un soutien financier de leurs proches sans avoir à le rembourser, selon un sondage en ligne effectué par Royal LePage en août 2025 auprès de 2 500 répondants. Cette proportion grimpe à 12 % dans l'ensemble du Canada, soit presque le double.L'écart se maintient pour l'aide aux paiements hypothécaires : près de 6 % des premiers acheteurs québécois anticipent recevoir cette forme d'assistance, comparativement à 10 % à l'échelle canadienne.Les prêts familiaux : une pratique plus uniformiséeEn revanche, les prêts familiaux à rembourser semblent transcender les frontières provinciales. Au Québec, 11 % des futurs propriétaires planifient recevoir un prêt de leurs proches qu'ils devront rembourser ultérieurement, une proportion similaire au reste du pays.Cette formule permet aux parents d'aider leurs enfants tout en préservant un certain équilibre financier familial, puisque les sommes avancées reviendront éventuellement dans leurs coffres.Une tendance en progression depuis la pandémieMême si les Québécois demeurent moins enclins à soutenir financièrement le projet immobilier de leurs enfants adultes, la pratique gagne néanmoins du terrain depuis quelques années.L'impact de la hausse des prix"Ça s'est accentué avec la pandémie, étant donné que les prix ont augmenté", observe Geneviève Langevin, courtière immobilière de Royal LePage qui pratique ce métier depuis 17 ans dans les quartiers Villeray et Rosemont à Montréal.La combinaison de la hausse des prix des maisons et de la hausse des taux d'intérêt a rendu l'accès à la propriété considérablement plus difficile pour les jeunes générations. Cette réalité pousse les parents, particulièrement les baby-boomers, à repenser leur approche.Un transfert intergénérationnel du vivant"Je pense que c'est là que les parents, les baby-boomers en fait, se sont dit : 'OK, on va les aider de notre vivant'", explique Geneviève Langevin.Cette décision reflète une prise de conscience : plutôt que de laisser un héritage après leur décès, certains parents choisissent d'aider leurs enfants au moment où ils en ont le plus besoin, soit lors de l'acquisition de leur première propriété.Un marché toujours défavorable aux premiers acheteursMalgré certains signes encourageants, le contexte immobilier demeure ardu pour ceux qui tentent d'accéder à la propriété pour la première fois.L'attentisme n'est pas nécessairement payantGeneviève Langevin constate que nombreux sont les premiers acheteurs qui hésitent à franchir le pas, espérant que les conditions leur seront plus favorables s'ils patientent. La courtière les met toutefois en garde contre cette stratégie."J'ai l'impression qu'ils attendent de voir si les taux d'intérêt vont encore baisser et si les prix vont baisser", analyse-t-elle. "Oui, les taux d'intérêt, peut-être qu'ils vont baisser, mais si les taux d'intérêt baissent, on s'entend que les prix devraient augmenter."Cette dynamique crée un cercle vicieux : en attendant de meilleures conditions, les acheteurs risquent de se retrouver confrontés à une nouvelle hausse des prix immobiliers, annulant ainsi les gains obtenus par la baisse des taux.Un marché toujours favorable aux vendeursLe marché demeure à l'avantage des vendeurs en raison d'une offre d'habitations limitée. Cette rareté alimente la compétition entre acheteurs et maintient une pression à la hausse sur les prix.La surenchère en forte progression à MontréalSur le terrain montréalais, un phénomène prend de l'ampleur et complique davantage l'accès à la propriété : la surenchère.Des chiffres qui parlent d'eux-mêmesDans les transactions épaulées par l'équipe de Geneviève Langevin, la surenchère touchait 25 % des cas il y a deux ans. "Cette année, c'est 40 % du temps", révèle la courtière, témoignant d'une intensification notable de la compétition.Le montant moyen des surenchères représente également un défi considérable pour les budgets serrés des premiers acheteurs. "La surenchère, elle peut être assez variable, mais si je fais une moyenne, c'est autour de 40 000 $", précise Mme Langevin. "C'est quand même pas toujours facile pour les premiers acheteurs."Cette somme supplémentaire de 40 000 $ peut facilement compromettre l'équilibre financier d'un jeune ménage, particulièrement s'il ne bénéficie pas du soutien familial.Des attentes qui s'ajustent à la réalité montréalaiseFace à ces obstacles financiers, les premiers acheteurs de la grande région de Montréal adaptent progressivement leurs objectifs immobiliers.Le recul du rêve de la maison unifamilialeSi acheter une maison unifamiliale détachée demeure l'objectif de 39 % des premiers acheteurs canadiens, Geneviève Langevin constate que les résidents montréalais modèrent leurs attentes en raison des prix élevés.Les copropriétés, duplex et triplex deviennent des options plus réalistes pour une génération qui souhaite devenir propriétaire sans s'endetter au-delà du raisonnable.Le retour en ville après l'exode pandémiqueUn renversement de tendance intéressant se dessine actuellement dans la région métropolitaine. Après l'essor du télétravail durant la pandémie, qui avait poussé de nombreux acheteurs vers les banlieues éloignées pour profiter de meilleurs prix et de plus d'espace, le balancier revient vers Montréal."On sent que ça revient davantage à Montréal parce qu'il y a plus de présentiel", note Geneviève Langevin. "Les jeunes privilégient davantage l'emplacement maintenant."Le retour progressif au travail en présentiel redonne de la valeur aux propriétés situées à proximité des centres d'emploi et des commodités urbaines. Les jeunes acheteurs réalisent que la qualité de vie ne se résume pas uniquement aux mètres carrés, mais englobe aussi la proximité des services, des transports en commun et des milieux de travail.Pourquoi cette différence entre le Québec et le Canada ?Plusieurs hypothèses peuvent expliquer pourquoi les parents québécois sont moins enclins à soutenir financièrement leurs enfants dans leur projet immobilier.Des facteurs culturels et économiquesLes différences culturelles dans l'approche de l'autonomie financière et de l'indépendance des jeunes adultes pourraient jouer un rôle. Le Québec possède également des particularités économiques, notamment un coût de la vie historiquement plus abordable que dans certaines autres régions canadiennes, bien que cet écart se réduise.Les prix immobiliers à Montréal, bien qu'en hausse, demeurent généralement inférieurs à ceux de Toronto ou Vancouver, ce qui pourrait réduire la pression financière ressentie par les premiers acheteurs québécois et, par ricochet, diminuer la nécessité d'une aide parentale.Des revenus familiaux différentsLes revenus moyens des baby-boomers québécois et leur capacité d'épargne pourraient également différer de ceux observés ailleurs au Canada, limitant ainsi leur marge de manœuvre pour aider financièrement leurs enfants.Stratégies pour les premiers acheteurs sans aide familialePour les deux tiers des premiers acheteurs québécois qui ne bénéficient d'aucun soutien financier familial, l'accession à la propriété nécessite une planification rigoureuse et parfois des compromis.Maximiser sa mise de fondsL'épargne disciplinée et l'utilisation des programmes gouvernementaux comme le Régime d'accession à la propriété (RAP) permettent d'accumuler une mise de fonds substantielle, réduisant ainsi le montant à emprunter et les coûts hypothécaires.S'entourer de professionnels compétentsL'accompagnement d'un courtier immobilier expérimenté devient crucial dans un marché compétitif. Un professionnel averti peut identifier les meilleures opportunités, négocier efficacement et éviter les pièges coûteux d'une transaction mal préparée.Élargir ses critères de rechercheAccepter de revoir ses attentes à la baisse, explorer des quartiers émergents ou considérer des propriétés nécessitant des rénovations peut ouvrir des portes insoupçonnées vers la propriété.Perspectives pour l'avenir du marché québécoisLe marché immobilier québécois traverse une période de transition où les dynamiques familiales, économiques et sociales se reconfigurent. L'aide parentale, bien que moins fréquente qu'ailleurs au Canada, représente un facteur de plus en plus déterminant dans l'accès à la propriété.Pour les premiers acheteurs, la clé du succès réside dans une préparation minutieuse, une flexibilité dans leurs attentes et un accompagnement professionnel adapté à la réalité d'un marché en constante évolution.Que l'on bénéficie ou non du soutien familial, devenir propriétaire demeure possible à condition d'adopter une stratégie réaliste et de saisir les opportunités au bon moment. Dans ce contexte, l'expertise d'un courtier immobilier chevronné peut faire toute la différence entre un projet qui stagne et un rêve qui se concrétise.Lire l'article Source : Sondage Royal LePage, août 2025, 2 500 répondants

Auteur Alexandre Feydri
Alerte Immobilière

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