Découvrez nos analyses approfondies et nos perspectives sur le marché immobilier de Montréal
Chez Langevin Immobilier, nos articles sont conçus pour vous offrir des informations pertinentes et utiles sur le marché immobilier de Montréal et ses environs. Que vous soyez à la recherche de con... Chez Langevin Immobilier, nos articles sont conçus pour vous offrir des informations pertinentes et utiles sur le marché immobilier de Montréal et ses environs. Que vous soyez à la recherche de conseils pour acheter ou vendre une propriété, ou que vous souhaitiez rester informé des tendances du secteur, nos experts partagent leur expertise pour vous guider. Plongez dans une mine de ressources enrichissantes sur l’achat, la vente, et l’investissement immobilier, pour des transactions réussies.
Acheter une propriété représente l'un des investissements les plus importants d'une vie. Au Québec, où le prix moyen d'une maison unifamiliale atteint 547 400 $, soit plus du double du prix d'il y a 10 ans, il devient crucial de bien évaluer sa capacité financière avant de se lancer. C'est là qu'intervient la règle du 30/30/3, un outil d'évaluation simple qui peut vous éviter bien des déconvenues.Qu'est-ce que la règle du 30/30/3 ?Cette méthode d'évaluation financière a été créée il y a une quinzaine d'années par Sam Dogen, expert financier américain et auteur du guide Buy This, Not That. Largement adoptée en Amérique du Nord, elle permet aux futurs acheteurs d'évaluer de manière réaliste leur capacité à acquérir une propriété tout en maintenant une santé financière optimale.La règle repose sur trois piliers essentiels qui garantissent un équilibre budgétaire durable lors de votre achat immobilier.Premier pilier : ne pas dépasser 30 % de vos revenus bruts en paiements hypothécairesLa première règle stipule que les paiements hypothécaires ne doivent pas excéder 30 % de vos revenus bruts. Cette limite vous assure de conserver suffisamment de liquidités pour vos dépenses courantes et imprévues.Exemple concret : Un couple gagnant 100 000 $ par année ne devrait pas consacrer plus de 30 000 $ annuellement à son hypothèque, soit environ 2 500 $ par mois. Cette marge de sécurité vous permet de faire face aux fluctuations économiques sans mettre en péril votre stabilité financière.Au Québec, où les taux d'intérêt peuvent varier, cette règle prend tout son sens. Elle vous protège contre un endettement excessif qui pourrait devenir ingérable en cas de hausse des taux ou de perte d'emploi.Deuxième pilier : posséder 30 % de la valeur de la propriétéLe deuxième critère peut sembler exigeant, mais il constitue un gage de solidité financière. De ce montant, 20 % servent à la mise de fonds, démontrant votre sérieux dans la démarche. Les 10 % restants représentent un coussin de sécurité essentiel.Pourquoi cette exigence ? Ces fonds supplémentaires couvrent les frais souvent sous-estimés lors d'un achat immobilier : frais de notaire, taxe de bienvenue, inspection, déménagement, et les rénovations ou réparations imprévues qui surviennent fréquemment dans les premiers mois.Pour une propriété de 400 000 $, vous devriez donc disposer de 120 000 $ : 80 000 $ pour la mise de fonds et 40 000 $ pour les autres dépenses. Cette approche élimine le stress financier post-achat et vous évite de vider vos économies d'urgence.Troisième pilier : choisir une propriété valant trois fois votre revenu annuelLe chiffre 3 représente la valeur idéale du bien immobilier : celui-ci devrait coûter environ trois fois le budget annuel du foyer. Ce ratio garantit que votre investissement immobilier reste proportionnel à vos capacités de remboursement à long terme.Mise en situation : Si votre ménage génère 120 000 $ de revenus annuels, vous devriez viser une propriété d'environ 360 000 $. Ce principe vous protège contre les achats trop ambitieux qui grugent votre capacité d'épargne et limitent votre qualité de vie.Les avantages concrets de cette méthodeEn respectant ces trois critères, vous bénéficiez d'avantages significatifs :Maintien d'une capacité d'épargne : Avec seulement 30 % de vos revenus consacrés à l'hypothèque, il vous reste 70 % pour vos dépenses courantes et votre épargne. Cette marge vous permet de continuer à investir dans vos REER, CELI ou autres projets tout en remboursant votre propriété.Protection contre les imprévus : La vie réserve des surprises. Cette règle rappelle qu'une décision excitante quand le taux de chômage est bas pourrait devenir insoutenable si la situation économique se détériorait. Votre coussin financier vous protège lors de périodes difficiles.Réduction du stress financier : Savoir que vos paiements hypothécaires n'étouffent pas votre budget mensuel procure une tranquillité d'esprit inestimable. Vous dormez mieux en sachant que vous pouvez assumer confortablement vos engagements.Cette règle s'applique-t-elle vraiment au Québec ?Certains acheteurs pensent que cette méthode ne fonctionne pas dans les marchés immobiliers coûteux. Si vous calculez et que cette formule ne s'applique pas à votre situation, elle vous indique simplement que vous n'avez pas encore les moyens de faire cet achat immobilier.Cette réalité peut être difficile à accepter, mais elle vous évite un piège financier aux conséquences durables. Plutôt que de vous endetter démesurément, considérez cette règle comme un objectif motivant : elle vous indique clairement le revenu ou l'épargne nécessaires pour concrétiser votre projet en toute sécurité.Limites et adaptations de la règleLa règle du 30/30/3 convient particulièrement bien aux couples ou aux acheteurs disposant de revenus confortables. Les personnes seules, les jeunes professionnels ou ceux au salaire minimum peuvent éprouver davantage de difficulté à respecter ces critères, notamment pour réunir les 30 % de mise de fonds.Dans ces situations, l'accompagnement d'un courtier immobilier expérimenté devient encore plus précieux. Chez Langevin immobilier, nos courtiers vous aident à élaborer une stratégie d'achat adaptée à votre réalité financière, que vous respectiez parfaitement cette règle ou que vous deviez l'ajuster selon vos circonstances.L'importance d'un accompagnement professionnelBien que la règle du 30/30/3 constitue un excellent point de départ, chaque situation immobilière est unique. Les courtiers de Langevin immobilier possèdent une connaissance approfondie du marché québécois et peuvent vous guider dans l'évaluation réaliste de votre capacité d'achat.Nous analysons avec vous tous les aspects de votre projet : budget réel incluant les taxes municipales et scolaires, frais de copropriété potentiels, coûts d'entretien, et même l'évolution prévisible de vos revenus. Cette vision globale vous permet de prendre une décision éclairée et durable.Conclusion : investir intelligemment pour l'avenirUne dette représente un risque, et personne ne devrait vous dire le contraire. La règle du 30/30/3 n'est pas une loi rigide, mais un outil de prudence financière qui vous aide à investir dans la pierre sans compromettre votre bien-être économique.En respectant ces principes, vous vous assurez non seulement d'acquérir la propriété de vos rêves, mais aussi de pouvoir la conserver et en profiter pleinement, même lorsque les vents économiques deviennent moins favorables.Vous envisagez d'acheter une propriété au Québec ? Contactez l'équipe de Langevin immobilier. Nos courtiers expérimentés vous accompagnent dans l'évaluation de votre capacité d'achat et dans la recherche de la propriété qui correspond réellement à vos moyens et à vos aspirations.
Dans le secteur immobilier hyper-compétitif, la différence entre les courtiers qui prospèrent et ceux qui survivent se résume souvent à une compétence fondamentale : leur maîtrise des appels téléphoniques. Alors que beaucoup considèrent cette approche comme dépassée à l'ère du digital, la réalité démontre le contraire. Les appels téléphoniques demeurent l'outil le plus puissant pour générer des ventes de qualité et établir des relations durables avec la clientèle.Chez Langevin Immobilier, nous constatons quotidiennement que les courtiers qui maîtrisent l'art des appels téléphoniques génèrent 300% plus de mandats que ceux qui se limitent aux approches passives. Cette différence spectaculaire n'est pas le fruit du hasard, mais résulte de techniques précises que nous allons décortiquer dans cet article.Pourquoi les appels téléphoniques génèrent-ils plus de ventes ?Le facteur humain irremplaçableContrairement aux emails ou messages automatisés, l'appel téléphonique crée une connexion humaine immédiate. Cette interaction directe permet d'établir la confiance rapidement, de détecter les nuances émotionnelles du prospect, et d'adapter votre discours en temps réel selon ses réactions.Les statistiques parlent d'elles-mêmes : un prospect contacté par téléphone a 7 fois plus de chances de devenir client qu'un prospect contacté uniquement par email. Cette efficacité supérieure s'explique par la richesse de la communication vocale qui transmet non seulement l'information, mais aussi votre expertise, votre enthousiasme et votre professionnalisme.La qualification immédiate des prospectsLes appels téléphoniques permettent une qualification instantanée des prospects. En quelques minutes de conversation, vous pouvez déterminer leur motivation réelle, leur échéancier, leur budget, et leur niveau d'engagement. Cette information précieuse vous évite de perdre du temps avec des prospects non qualifiés et vous permet de concentrer vos efforts sur les opportunités les plus prometteuses.L'avantage concurrentiel décisifDans un marché où la majorité des courtiers privilégient les approches digitales passives, ceux qui maîtrisent les appels téléphoniques se démarquent instantanément. Votre proactivité téléphonique vous positionne comme un professionnel engagé et accessible, qualités particulièrement appréciées dans le secteur immobilier.Les types d'appels qui génèrent le plus de ventesLes appels AVPP : une mine d'or sous-exploitéeLes appels aux propriétaires qui tentent de vendre seuls (AVPP - À Vendre Par un Particulier) représentent l'une des opportunités les plus lucratives pour les courtiers immobiliers. Ces propriétaires, confrontés aux défis de la vente autonome, sont souvent réceptifs aux conseils d'experts.L'expertise de Geneviève Langevin dans ce domaine est reconnue à travers le Québec. Sa méthode pour transformer les appels AVPP en mandats exclusifs repose sur une approche respectueuse qui évite les erreurs classiques que commettent 90% des courtiers :Ne jamais critiquer ouvertement leur décision de vendre seulsCommencer par s'intéresser sincèrement à leur situationPoser des questions de découverte stratégiquesConstruire progressivement la relation avant de proposer une rencontreLa prospection géographique cibléeConcentrer vos appels sur un secteur géographique spécifique vous permet de développer une expertise locale reconnue. Cette stratégie de "farming téléphonique" consiste à appeler régulièrement les propriétaires de votre zone cible pour :Offrir des analyses de marché personnaliséesPartager des informations sur les ventes récentes du secteurProposer des évaluations gratuitesMaintenir une présence constante dans l'esprit des propriétairesLes appels de suivi : transformer les leads tièdes en clients chaudsLe suivi téléphonique structuré est où se joue réellement la différence. La majorité des transactions immobilières se concrétisent après le 5ème contact, pourtant 80% des courtiers abandonnent après le 2ème appel. Cette statistique révèle une opportunité énorme pour les courtiers persévérants.Un système de suivi efficace inclut :Jour 3 : Appel de remerciement et envoi des documents promisSemaine 2 : Appel de courtoisie pour prendre des nouvellesSemaine 4 : Partage d'informations de marché pertinentesSemaine 6 : Nouvelle proposition de valeur adaptéeLes techniques qui transforment les appels en ventesLa préparation : la clé du succèsChaque appel doit être précédé d'une préparation minutieuse. Recherchez des informations sur la propriété, son historique de prix, la durée sur le marché, et les caractéristiques du secteur. Cette préparation vous permet de personnaliser votre approche et de démontrer votre professionnalisme dès les premiers échanges.Préparez également vos questions de découverte stratégiques :"Qu'est-ce qui vous motive à vendre maintenant ?""Quel est votre délai idéal pour la transaction ?""Quels sont vos plus grands défis jusqu'à présent ?""Avez-vous déjà travaillé avec un courtier immobilier ?"L'ouverture parfaite : capturer l'attention en 10 secondesLes 10 premières secondes de votre appel déterminent le succès ou l'échec de la conversation. Évitez absolument de commencer par parler de vous et de vos services. Concentrez-vous plutôt sur le prospect et sa situation :Mauvaise approche : "Bonjour, je suis Marie-Claude de Langevin Immobilier. Je suis courtière depuis 15 ans et j'ai vendu plus de 200 propriétés..."Bonne approche : "Bonjour, j'ai remarqué que vous vendez votre propriété sur la rue Maple. Comment se déroule votre vente jusqu'à présent ?"Cette approche centrée sur le prospect démontre votre intérêt genuine et augmente significativement votre taux de conversion.La gestion des objections : transformer la résistance en opportunitéChaque objection est une demande d'information déguisée. Au lieu de les combattre, accueillez-les comme des opportunités d'approfondir la conversation. La technique de reformulation vous permet de bien comprendre l'objection avant d'y répondre :Prospect : "Je préfère essayer seul d'abord." Réponse efficace : "Je comprends parfaitement cette approche. Combien de temps vous donnez-vous pour tenter la vente seul ?"Cette technique respecte la position du prospect tout en ouvrant la porte à une conversation plus approfondie sur ses motivations et ses préoccupations.Le closing naturel : obtenir l'engagement sans pressionLe closing efficace découle naturellement d'une conversation bien menée. Si vous avez correctement identifié les besoins du prospect et démontré votre valeur, la demande d'engagement devient évidente. Utilisez des closes assumptifs qui présupposent l'accord :"D'après ce que vous me décrivez, une évaluation professionnelle vous aiderait à prendre une décision éclairée. Je peux passer mardi matin ou mercredi après-midi, qu'est-ce qui vous convient le mieux ?"Les erreurs qui sabotent vos appels de venteParler plus qu'écouterL'erreur la plus commune des courtiers immobiliers est de monopoliser la parole. La règle d'or : écoutez 70% du temps, parlez 30% du temps. Cette proportion vous permet de vraiment comprendre les besoins du prospect et d'adapter votre proposition en conséquence.Utiliser un script rigideLes prospects détectent immédiatement les appels scriptés et impersonnels. Préparez plutôt une structure flexible avec des points clés à aborder, mais adaptez votre langage et votre approche selon chaque conversation. L'authenticité génère plus de confiance qu'un discours parfaitement rodé mais impersonnel.Négliger le suiviLa persistance respectueuse est cruciale dans l'immobilier. Développez un système de suivi qui vous permet de rester présent dans l'esprit du prospect sans devenir insistant. Chaque contact doit apporter de la valeur : information de marché, conseil pertinent, ou ressource utile.Le coaching spécialisé : accélérer votre maîtriseMaîtriser l'art des appels téléphoniques ne s'improvise pas. C'est pourquoi Geneviève Langevin, membre du top 1% des meilleurs courtiers immobiliers au Canada, a développé un programme de coaching spécialisé qui transforme littéralement la performance des courtiers.Une expertise éprouvée sur le terrainContrairement aux formations théoriques, le coaching de Geneviève s'appuie sur des techniques testées et affinées sur des milliers d'appels réels. Son approche ne propose pas une formule générique, mais un coaching ancré dans la réalité quotidienne du métier de courtier immobilier.Des résultats mesurables et immédiatsLes courtiers qui suivent plusieurs sessions avec Geneviève rapportent une amélioration spectaculaire de leur taux de conversion. Sa méthode permet de :Transformer davantage d'appels en rendez-vous qualifiésMaîtriser les conversations de prospectionGérer efficacement les objections complexesDévelopper la confiance nécessaire pour les appels AVPPFormules adaptées à tous les profilsQue vous démarriez votre carrière ou souhaitiez raffiner vos techniques d'appels, plusieurs options s'offrent à vous :Coaching à l'heure : Flexibilité totale avec paiement à l'heure, sans contrat, en sessions personnalisées one-to-one.Programme "Prospection Maîtrisée" : 10 heures sur 2 mois pour apprendre à transformer vos appels en rendez-vous d'évaluation.Programme "Évaluation à Signature" : 10 heures sur 2 mois pour maîtriser le processus du rendez-vous d'évaluation au suivi post-évaluation.Mesurer et optimiser vos résultatsLes indicateurs clés de performance (KPI)Pour optimiser continuellement vos appels téléphoniques, mesurez systématiquement :Taux de réponse : Pourcentage d'appels où vous obtenez un contact directTaux de conversion : Pourcentage d'appels transformés en rendez-vousTaux de signature : Pourcentage de rendez-vous transformés en mandatsDurée moyenne des conversations : Indicateur de l'engagement du prospectNombre d'appels nécessaires avant signature : Mesure de l'efficacité de votre cycle de venteL'amélioration continueEnregistrez vos appels (avec autorisation) pour analyser votre performance et identifier les axes d'amélioration. Notez les objections récurrentes pour préparer des réponses plus efficaces. Testez différentes approches d'ouverture pour optimiser votre taux de conversation.Technologies et outils pour maximiser l'efficacitéSystèmes de gestion de la relation client (CRM)Un CRM adapté à l'immobilier vous permet d'automatiser le suivi, de personnaliser vos communications, et de ne jamais laisser passer une opportunité. Intégrez-y vos notes d'appels, planifiez vos relances, et suivez vos KPI en temps réel.Outils de prospection intelligenteUtilisez des outils qui vous permettent d'identifier les propriétaires motivés : propriétés avec réduction de prix, longue durée sur le marché, ou changements de situation personnelle. Cette intelligence vous permet de cibler vos appels sur les prospects les plus susceptibles de convertir.Construire une routine d'appels gagnanteLa planification quotidienneRéservez des créneaux spécifiques pour vos appels téléphoniques, idéalement aux moments où vos prospects sont le plus susceptibles d'être disponibles : entre 9h et 11h le matin, et entre 14h et 16h l'après-midi. Cette régularité vous permet de développer un rythme et d'améliorer progressivement vos compétences.La préparation mentaleAvant chaque session d'appels, préparez-vous mentalement. Visualisez des conversations réussies, concentrez-vous sur la valeur que vous allez apporter, et adoptez un état d'esprit positif. Votre énergie se transmet à travers le téléphone et influence directement vos résultats.La gestion des émotionsLes appels téléphoniques peuvent être émotionnellement exigeants, particulièrement face aux refus. Développez des techniques pour gérer le stress et maintenir votre motivation : pauses régulières, célébration des petites victoires, et perspective à long terme sur vos objectifs.Conclusion : transformez vos appels en moteur de croissanceDans un secteur où la concurrence s'intensifie, les courtiers immobiliers qui maîtrisent l'art des appels téléphoniques possèdent un avantage concurrentiel majeur. Cette compétence, loin d'être dépassée, reste l'une des méthodes les plus efficaces pour générer des ventes de qualité et construire une clientèle fidèle.Le succès dans les appels téléphoniques immobiliers ne se résume pas à la technique, mais combine préparation minutieuse, écoute active, gestion émotionnelle, et suivi systématique. C'est un art qui se perfectionne avec la pratique et s'optimise avec un coaching professionnel adapté.L'expertise de Geneviève Langevin dans ce domaine représente une opportunité unique de maîtriser rapidement ces compétences cruciales. Son approche bienveillante et axée sur les résultats a déjà transformé la performance de centaines de courtiers à travers le Québec.Ne laissez plus les appels téléphoniques au hasard. Investissez dans votre formation, développez vos compétences, et transformez chaque appel en une opportunité de croissance pour votre activité immobilière.Réservez dès maintenant votre appel découverte gratuit et découvrez comment le coaching spécialisé peut révolutionner votre approche des appels téléphoniques. Votre futur succès commence par ce premier appel.
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🏢 5 CONSEILS D'EXPERT POUR DÉBUTER EN INVESTISSEMENT IMMOBILIER 🏢Geneviève Langevin, courtier immobilier chez Royal LePage, reçoit Léo Brunet, investisseur immobilier avec 15 ans d'expérience, qui partage ses précieux conseils pour démarrer avec succès dans l'investissement immobilier.https://www.youtube.com/watch?v=eVJ_HTSe4Ns💡 LES 5 CONSEILS ESSENTIELS :1️⃣ SE FORMER ADÉQUATEMENT Les formations permettent de démarrer plus rapidement et d'éviter des erreurs coûteuses dans le domaine de l'immobilier.2️⃣ TROUVER DE BONS MENTORSL'expérience gratuite et le "street knowledge" transmis par un mentor peuvent faire toute la différence dans votre succès.3️⃣ TRAVAILLER AVEC L'ARGENT DES AUTRESNe vous limitez pas à votre capital initial. Trouvez des partenaires pour multiplier les opportunités et accélérer votre croissance.4️⃣ COMMENCER PLUS GROS DANS LE MULTILOGEMENTLe premier immeuble de Léo était un 10 logements. Il est difficile de générer de bons rendements avec les petits immeubles.5️⃣ NE PAS AVOIR PEUR DES PROBLÈMESL'argent se fait en trouvant des solutions à des problèmes. Les immeubles parfaits offrent peu de potentiel de profit.Des conseils concrets et applicables pour tous les investisseurs débutants ou intermédiaires !#InvestissementImmobilier #ImmobilierQuébec #Multilogement #ConseilsImmobilier #InvestisseurImmobilier #FormationImmobilier #RentabilitéImmobilière #DébutantImmobilier
Le marché immobilier est un environnement dynamique et complexe qui fluctue en fonction de divers facteurs économiques, sociaux et politiques. À Montréal et dans ses environs, les tendances récente... Le marché immobilier est un environnement dynamique et complexe qui fluctue en fonction de divers facteurs économiques, sociaux et politiques. À Montréal et dans ses environs, les tendances récentes montrent une demande soutenue, stimulée par une économie en croissance, des taux d’intérêt relativement bas, et une population diversifiée. Dans un marché en évolution constante, il est essentiel de rester informé et de s’appuyer sur une expertise professionnelle pour prendre les bonnes décisions. Les quartiers comme Rosemont, Villeray et Outremont ont chacun leur propre attrait et présentent des opportunités uniques pour les acheteurs et investisseurs. Le rôle de Langevin Immobilier est de vous guider à travers ces nuances, en fournissant une compréhension claire des tendances actuelles, des prix du marché, et des attentes des acheteurs et vendeurs.
Face à la flambée des prix immobiliers et à la hausse des taux d'intérêt, de plus en plus de premiers acheteurs se tournent vers leurs parents pour concrétiser leur rêve d'accession à la propriété. Pourtant, au Québec, le coup de pouce familial reste moins fréquent qu'ailleurs au Canada, selon un récent sondage Royal LePage.Un écart marqué entre le Québec et le reste du CanadaLes chiffres révèlent une différence notable dans l'aide financière offerte aux jeunes acheteurs selon leur province de résidence.Des dons moins fréquents au QuébecAu Québec, seulement 7 % des potentiels premiers acheteurs prévoient obtenir un soutien financier de leurs proches sans avoir à le rembourser, selon un sondage en ligne effectué par Royal LePage en août 2025 auprès de 2 500 répondants. Cette proportion grimpe à 12 % dans l'ensemble du Canada, soit presque le double.L'écart se maintient pour l'aide aux paiements hypothécaires : près de 6 % des premiers acheteurs québécois anticipent recevoir cette forme d'assistance, comparativement à 10 % à l'échelle canadienne.Les prêts familiaux : une pratique plus uniformiséeEn revanche, les prêts familiaux à rembourser semblent transcender les frontières provinciales. Au Québec, 11 % des futurs propriétaires planifient recevoir un prêt de leurs proches qu'ils devront rembourser ultérieurement, une proportion similaire au reste du pays.Cette formule permet aux parents d'aider leurs enfants tout en préservant un certain équilibre financier familial, puisque les sommes avancées reviendront éventuellement dans leurs coffres.Une tendance en progression depuis la pandémieMême si les Québécois demeurent moins enclins à soutenir financièrement le projet immobilier de leurs enfants adultes, la pratique gagne néanmoins du terrain depuis quelques années.L'impact de la hausse des prix"Ça s'est accentué avec la pandémie, étant donné que les prix ont augmenté", observe Geneviève Langevin, courtière immobilière de Royal LePage qui pratique ce métier depuis 17 ans dans les quartiers Villeray et Rosemont à Montréal.La combinaison de la hausse des prix des maisons et de la hausse des taux d'intérêt a rendu l'accès à la propriété considérablement plus difficile pour les jeunes générations. Cette réalité pousse les parents, particulièrement les baby-boomers, à repenser leur approche.Un transfert intergénérationnel du vivant"Je pense que c'est là que les parents, les baby-boomers en fait, se sont dit : 'OK, on va les aider de notre vivant'", explique Geneviève Langevin.Cette décision reflète une prise de conscience : plutôt que de laisser un héritage après leur décès, certains parents choisissent d'aider leurs enfants au moment où ils en ont le plus besoin, soit lors de l'acquisition de leur première propriété.Un marché toujours défavorable aux premiers acheteursMalgré certains signes encourageants, le contexte immobilier demeure ardu pour ceux qui tentent d'accéder à la propriété pour la première fois.L'attentisme n'est pas nécessairement payantGeneviève Langevin constate que nombreux sont les premiers acheteurs qui hésitent à franchir le pas, espérant que les conditions leur seront plus favorables s'ils patientent. La courtière les met toutefois en garde contre cette stratégie."J'ai l'impression qu'ils attendent de voir si les taux d'intérêt vont encore baisser et si les prix vont baisser", analyse-t-elle. "Oui, les taux d'intérêt, peut-être qu'ils vont baisser, mais si les taux d'intérêt baissent, on s'entend que les prix devraient augmenter."Cette dynamique crée un cercle vicieux : en attendant de meilleures conditions, les acheteurs risquent de se retrouver confrontés à une nouvelle hausse des prix immobiliers, annulant ainsi les gains obtenus par la baisse des taux.Un marché toujours favorable aux vendeursLe marché demeure à l'avantage des vendeurs en raison d'une offre d'habitations limitée. Cette rareté alimente la compétition entre acheteurs et maintient une pression à la hausse sur les prix.La surenchère en forte progression à MontréalSur le terrain montréalais, un phénomène prend de l'ampleur et complique davantage l'accès à la propriété : la surenchère.Des chiffres qui parlent d'eux-mêmesDans les transactions épaulées par l'équipe de Geneviève Langevin, la surenchère touchait 25 % des cas il y a deux ans. "Cette année, c'est 40 % du temps", révèle la courtière, témoignant d'une intensification notable de la compétition.Le montant moyen des surenchères représente également un défi considérable pour les budgets serrés des premiers acheteurs. "La surenchère, elle peut être assez variable, mais si je fais une moyenne, c'est autour de 40 000 $", précise Mme Langevin. "C'est quand même pas toujours facile pour les premiers acheteurs."Cette somme supplémentaire de 40 000 $ peut facilement compromettre l'équilibre financier d'un jeune ménage, particulièrement s'il ne bénéficie pas du soutien familial.Des attentes qui s'ajustent à la réalité montréalaiseFace à ces obstacles financiers, les premiers acheteurs de la grande région de Montréal adaptent progressivement leurs objectifs immobiliers.Le recul du rêve de la maison unifamilialeSi acheter une maison unifamiliale détachée demeure l'objectif de 39 % des premiers acheteurs canadiens, Geneviève Langevin constate que les résidents montréalais modèrent leurs attentes en raison des prix élevés.Les copropriétés, duplex et triplex deviennent des options plus réalistes pour une génération qui souhaite devenir propriétaire sans s'endetter au-delà du raisonnable.Le retour en ville après l'exode pandémiqueUn renversement de tendance intéressant se dessine actuellement dans la région métropolitaine. Après l'essor du télétravail durant la pandémie, qui avait poussé de nombreux acheteurs vers les banlieues éloignées pour profiter de meilleurs prix et de plus d'espace, le balancier revient vers Montréal."On sent que ça revient davantage à Montréal parce qu'il y a plus de présentiel", note Geneviève Langevin. "Les jeunes privilégient davantage l'emplacement maintenant."Le retour progressif au travail en présentiel redonne de la valeur aux propriétés situées à proximité des centres d'emploi et des commodités urbaines. Les jeunes acheteurs réalisent que la qualité de vie ne se résume pas uniquement aux mètres carrés, mais englobe aussi la proximité des services, des transports en commun et des milieux de travail.Pourquoi cette différence entre le Québec et le Canada ?Plusieurs hypothèses peuvent expliquer pourquoi les parents québécois sont moins enclins à soutenir financièrement leurs enfants dans leur projet immobilier.Des facteurs culturels et économiquesLes différences culturelles dans l'approche de l'autonomie financière et de l'indépendance des jeunes adultes pourraient jouer un rôle. Le Québec possède également des particularités économiques, notamment un coût de la vie historiquement plus abordable que dans certaines autres régions canadiennes, bien que cet écart se réduise.Les prix immobiliers à Montréal, bien qu'en hausse, demeurent généralement inférieurs à ceux de Toronto ou Vancouver, ce qui pourrait réduire la pression financière ressentie par les premiers acheteurs québécois et, par ricochet, diminuer la nécessité d'une aide parentale.Des revenus familiaux différentsLes revenus moyens des baby-boomers québécois et leur capacité d'épargne pourraient également différer de ceux observés ailleurs au Canada, limitant ainsi leur marge de manœuvre pour aider financièrement leurs enfants.Stratégies pour les premiers acheteurs sans aide familialePour les deux tiers des premiers acheteurs québécois qui ne bénéficient d'aucun soutien financier familial, l'accession à la propriété nécessite une planification rigoureuse et parfois des compromis.Maximiser sa mise de fondsL'épargne disciplinée et l'utilisation des programmes gouvernementaux comme le Régime d'accession à la propriété (RAP) permettent d'accumuler une mise de fonds substantielle, réduisant ainsi le montant à emprunter et les coûts hypothécaires.S'entourer de professionnels compétentsL'accompagnement d'un courtier immobilier expérimenté devient crucial dans un marché compétitif. Un professionnel averti peut identifier les meilleures opportunités, négocier efficacement et éviter les pièges coûteux d'une transaction mal préparée.Élargir ses critères de rechercheAccepter de revoir ses attentes à la baisse, explorer des quartiers émergents ou considérer des propriétés nécessitant des rénovations peut ouvrir des portes insoupçonnées vers la propriété.Perspectives pour l'avenir du marché québécoisLe marché immobilier québécois traverse une période de transition où les dynamiques familiales, économiques et sociales se reconfigurent. L'aide parentale, bien que moins fréquente qu'ailleurs au Canada, représente un facteur de plus en plus déterminant dans l'accès à la propriété.Pour les premiers acheteurs, la clé du succès réside dans une préparation minutieuse, une flexibilité dans leurs attentes et un accompagnement professionnel adapté à la réalité d'un marché en constante évolution.Que l'on bénéficie ou non du soutien familial, devenir propriétaire demeure possible à condition d'adopter une stratégie réaliste et de saisir les opportunités au bon moment. Dans ce contexte, l'expertise d'un courtier immobilier chevronné peut faire toute la différence entre un projet qui stagne et un rêve qui se concrétise.Lire l'article Source : Sondage Royal LePage, août 2025, 2 500 répondants
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