Journal du mois – septembre résilience

Au niveau du travail, je suis encore en mode résilience. Les médias font peur à tout le monde. 😱😱😱Par expérience (j’ai tout de même commencé à faire du courtage en 2008 en plein milieu de la plus grosse crise financière depuis la grande récession), je sais que le marché ne pourra pas autant baisser, que les taux ne monteront pas de façon faramineuse parce que les conséquences sur les consommateurs seront désastreuses.

Ce n’est pas toujours évident de travailler avec des humains, c’est toujours la partie la plus compliquée de mon travail, comme je vous disais le mois dernier. Des fois, on essaie de faire plaisir à quelqu’un et on se le fait reprocher ailleurs. J’ai l’impression que les employés et les courtiers se ne se mettent pas à ma place comme chef d’équipe. Un entrepreneur doit être « on » 24/24h et les erreurs nous retombe toujours sur nous, on ne peut donc pas toujours laisser le travail au travail et dormir sur nos deux oreilles quand une situation importante change les plans. En pénurie de main-d’œuvre, j’ai peur parfois d’avoir des exigences qui sont trop grandes… pour ne pas faire fuir mon staff.

Dans le cadre de mes lectures mensuelles, j’ai commencé le livre chercheur d’or de Guillaume Dulude, c’est un livre qui explique très bien la communication entre les humains. C’est bien décortiqué, c’est comme s’il était un ingénieur de notre communication et de ses répercutions. Ce qu’il m’a permis de me redire à nouveau que toutes les interactions interpersonnelles et d’affaires sont selon un intérêt réciproque et si on ne trouve plus son compte, la relation se dissous. On a toujours quelque chose à gagner dans nos interactions, peu importe lesquelles. La relation se met au diapason de la personne la moins volontaire des deux. Le meilleur exemple serait si je veux être amie avec une personne et qu’elle ne donne jamais de disponibilité ou elle ne donne pas de signe qu’elle peut être en relation d’amitié avec moi, hé bien, nous ne serons jamais amies, nous seront des connaissances parce que c’est l’autre qui l’impose.

J’ai suivi une séance de Ki-Jong, après une fin de mois assez éprouvante émotionnellement. J’ai eu une vision que dans mon enfance, j’ai eu l’impression d’être aimée sous certaines conditions. C’est comme si quand je n’étais pas assez adéquate, on ne m’aimait plus autant. Ce qui fait que dans ma vie de tous les jours, je suis aux aguets du regard des autres comme si c’était encore une possibilité qu’une chose pareille arrive, c’est comme si j’étais toujours en test ou en examen. Je me mets une pression énorme comme si après du temps passé avec des amies par exemple, elles pouvaient me balayer de la vie des autres. J’ai peur qu’on me trouve plate, que je ne sois pas assez intelligente. En amour, je tourne le dos rapidement à la moindre affaire qui me fatigue chez l’autre, comme on me l’a fait dans mon enfance. Je sais que c’est de l’évitement.  

Et toujours en amour, comme je le disais plus tôt, j’ai de la difficulté à ne pas être en mode tout ou rien. Je dois travailler là-dessus. J’idéalise peut-être aussi être en couple, comme c’est mon désir profond, cependant je dois trouver ce qui est acceptable ou pas, qu’est-ce qui fait que je suis heureuse ou pas, est-ce que je dois toujours me questionner et me remettre en question le couple. Est-ce que c’est normal?

Pour ceux et celles qui suivent de près mes aventures avec mon prince, j’ai vu qu’il s’était fait une blonde. Même si j’ai été curieuse de savoir ce qui elle est, je n’ai pas eu de vagues d’émotions comme j’aurais pu m’y attendre. Je suis contente que le temps ait fait son œuvre dans mon cœur. Je suis contente d’être passée à autre chose. Et même qu’a vu d’œil, ils font un bien meilleur couple que j’aurais pu faire avec lui. Alors bonne chance à vous. 🍀

Aussi, j’ai l’impression que mes hormones me jouent des tours. Il y a eu le documentaire de loto-méno de Véronique Cloutier, c’était vraiment de belles capsules sur le sujet. Quand on regarde la préménopause, on comprend encore mieux les symptômes comme la fatigue, la prise de poids, les fameuses sueurs nocturnes. Je pense que toutes les femmes de 35 ans et plus devraient être aux aguets et se faire suivre en cas de doute.

Côté parentale, j’ai vécu une situation qui parlera surement aux parents séparés. Dans ma pire semaine du mois, mon fils était extrêmement fatigué et il voulait aller dormir chez son père, il pleurait beaucoup. Comme j’avais moi aussi pleuré cette journée-là, j’ai eu de la difficulté à gérer la situation. Ce n’était pas la première fois que ça arrivait, pourtant, là, j’avais vraiment de la peine. Si je pleurais devant lui, il aurait pleuré encore plus, mais j’avais le cœur brisé même si a posteriori je comprends qu’un enfant ne fait pas ça pour faire de la peine. Disons que j’étais contente que le mois finisse !!!

Alors voilà, je suis en mode résilience pour tout! Let’s go! On ne lâche pas. Je reviens d’Estrie d’un deux jours bien mérités. À bientôt.

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